Cliquez ici >>> ♦️ ne doute jamais de mon amour pour toi

Seigneurnos difficultés nous poussent bien souvent à douter de toi, de ta présence effective ; Daigne nous donner de voir que même au cœur de nos problèmes, tu es là présent et agissant. Aide nous à savoir voir tes merveilles dans nos vies au lieu de nous focaliser sur les situations que nous traversons et qui nous empêchent de voir Ilvaut mieux être un lion solitaire qu'un mouton populaire. Quand rien ne va il faut se regarder de face. J'aime ceux qui ne savent pas trop pourquoi ils aiment. Il y a un juge qui s'appelle le Souvienstoi que je suis avec toi, en toi comme je l'ai écrit dans ma Parole dans le livre de Josué 1 : 5 Personne ne tiendra devant toi, tous les jours de ta vie; comme j'ai été avec Moise, ainsi je serai avec toi : je ne te laisserai point et je ne t'abandonnerai point. Chasse loin de toi les mensonges que l'ennemi met dans tes pensées. Pourrécupérer ton amant, la meilleure des choses à faire et de prendre les devants avant qu’aucun retour ne puisse être possible. Invite le à dîner, et parlez sincèrement de ce qu’il ne va pas. Videz tous les deux votre sac, et vous vous sentirez tous les deux plus légers, avec un poids en moins sur les épaules. Nepas douter, c’est avoir confiance. L’erreur à ne pas faire, c’est de placer cette confiance et cette certitude dans ton partenaire. N’oublies pas que c’est un facteur incontrôlable pour toi comme tu es un facteur incontrôlable pour lui. Ta confiance et ton bonheur ne dépend que de toi ! Il faut bien intégrer aussi qu’avoir Site De Rencontre Gratuit Dans Le Pas De Calais. Les montagnes peuvent bouger de place, s’ébranler, s’écrouler, l’amour de Dieu pour nous est immuable et invariable ! Quelle belle déclaration d’amour, vous ne trouvez pas ? C’est bien un argument de taille, car s’il est inconcevable qu’une montagne se déplace !, il est encore plus improbable que l’amour de Dieu pour nous cesse un jour ! Quand Dieu nous parle d’amour, Il utilise des images excessives, comme ces montagnes, car Il sait bien que nous avons sans cesse besoin d’être rassurés, surtout sur la question de l’amour ! N’est-ce pas ce dont nous avons le plus besoin ? Si nous ne comprenons pas toujours l'amour, il faut avouer qu’on est parfois maladroit, inquiet, exigeant et rapidement défaitiste. On est dans l’attente et on tranche quand on n’obtient pas ce que l’on effet, notre amour diminue à la moindre faille, à la première déception. Dieu connaît nos comportements ! Mais il n’agit pas ainsi avec nous, fort heureusement. Il ne s’impatiente pas de nos défauts, de nos infidélités. C’est comme s’Il nous disait “Quoique tu fasses, quoique tu sois, je t’aimerais toujours”. Inlassablement Il nous pardonne lorsque nous revenons à Lui... car nous avons une valeur unique et si précieuse à Ses yeux ! Je t'aime d'un amour éternel, c'est pourquoi je te conserve ma bonté. » Jr 313. Avez-vous remarqué l’absence de “si” ? C’est un amour sans condition, complet rien à rajouter ni à retrancher. Ne cherchons pas à mériter cet amour par nos oeuvres…Ne croyons pas qu’il faut être parfait ou en être digne…Cet amour de Dieu est offert, il est unique et parfait ! Il est pour chacun de nous. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! 22 poèmes <678910Phonétique Cliquez pour la liste complète data datai datais datait datas datât datâtes date datée datées dates datés datte dattes déçûtes dédiâtes dédite dédites dédîtes dédits déduite déduites déduits déhotta déhottai déhottais déhottait déhottas déhottât ... Tu as ta force, j'ai ma ruse; Ta force est d'être ce que j'aime, Elle est dans ta faiblesse même. - Mais parfois mon instinct plaintif Écoute d'un coeur attentif Ma passion pour toi qui s'use. Tu ne peux t'en douter, sachant Qu'on n'épuise jamais mon âme, Tu n'entends pas mon secret blâme, Ni ce léger chant triomphant D'une ardeur que le temps entame. Tu restes calme et confiant. - Mais moi, épiant ma détresse, Je perçois jusqu'au battement Plus délicat de mon ivresse; Je goûte, - lourde et sans tourment, - Une consolante paresse. - Ah ! si je pouvais oublier Ces instants courts, rares, extrêmes, Où, mes doigts à tes bras liés, Je poursuis en ton coeur pillé Je ne sais quel plus pur moi-même, Je déferais mon coeur du tien, Et, recouvrant mon amplitude, J'irais vers cette solitude En qui tout être m'appartient !... Poème de l'amour Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles Citations de Anna de Brancovan, comtesse de NoaillesPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 308 votesTu me comprends je suis un être médiocre, Ni bon, ni très mauvais, paisible, un peu sournois. Je hais les lourds parfums et les éclats de voix, Et le gris m’est plus cher que l’écarlate ou l’ocre. J’aime le jour mourant qui s’éteint par degrés, Le feu, l’intimité claustrale d’une chambre Où les lampes, voilant leurs transparences d’ambre, Rougissent le vieux bronze et bleuissent le grès. Les yeux sur le tapis plus lisse que le sable, J’évoque indolemment les rives aux poid d’or Où la carté des beaux autrefois flotte encor… Et cependant je suis une grande coupable. Vois j’ai l’âge où la vierge abandonne sa main À l’homme que sa faiblesse cherche et redoute, Et je n’ai point choisi de compagnon de route, Parce que tu parus au tournant du chemin. L’hyacinthe saignait sur les rouges collines, Tu rêvais et l’Eros marchait à ton côté… Je suis femme, je n’ai point droit à la beauté. On m’avait condamnée aux laideurs masculines. Et j’eus l’inexcusable audace de vouloir Le sororal amour fait des blancheurs légères, Le pas furtif qui ne meurtrit point les fougères Et la voix douce qui vient s’allier au soir. On m’avait interdit tes cheveux, tes prunelles, Parce que tes cheveux sont longs et pleins d’odeurs Et parce que tes yeux ont d’étranges ardeurs. Et se troublent ainsi que les ondes rebelles. On m’a montrée du doigt en un geste irrité, Parce que mon regard cherchait ton regard tendre… En nous voyant passe, nul n’a voulu comprendre Que je t’avais choisie avec simplicité. Considère la loi vile que je transgresse Et juge mon amour, qui ne sait point le mal, Aussi candide, aussi nécessaire et fatal Que le désir qui joint l’amant à la maîtresse. On n’a point lu combien mon regard était clair Sur le chemin où me conduit ma destinée, Et l’on a dit "Quelle est cette femme damnée Que ronge sourdement la flamme de l’enfer ? Laissons-les au souci de leur morale impure, Et songeons que l’aurore a des blondeurs de miel, Que le jour sans aigreur et que la nuit sans fiel Viennent, tels des amis dont la bonté rassure… Nous irons voir le clair d’étoiles sur les monts… Que nous importe, à nous, le jugement des hommes ? Et qu’avons-nous à redouter, puisque nous sommes Pures devant la vie et que nous nous aimons ?…Paroles à l’Amie Poèmes de Renée VivienCitations de Renée VivienPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 471 votes<678910Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

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